Précision, beauté du verbe, droit au but, fabuleuse habilité à annoncer puis séparer les titres à la Une, un trop de perfection dans la diction, subtilité dans la manière d’interviewer les invités, la liste serait très loin d’être exhaustive si on me demandait de décrire l’étonnante Nathalie Amar.
Cette enchanteresse voix qui prend d’assaut le micro de Radio France Internationale à 17heures (t.u) abrège mes siestes, si incontournables soient- elles. Elle était préposée au journal international de midi où sa séduisante voix se joignait à celle non moins envoûtante de Stéphanie Shler pour parcourir les « journaux américains ».
Nonobstant mes occupations et l’étroitesse de mon temps libre, je n’entendais point la rater. Après un bref « zapping » sur les radios sénégalaises pour écouter les titres à la mi-journée, je m’empressais d’ « éterniser ma fréquence » sur la 99.7 FM (fréquence de RFI à Gandiol, Saint-Louis du Sénégal).
Sa mutation à la grande édition des 2 heures du non-stop de l’actu sur RFI a chambardé mon agenda quotidien. Il m’est arrivé tout récemment de reporter mon jogging, de tendre mon oreille de 17h à 19h pour déguster mon plat « Nathalie Amar » de tous les soirs.
Jean Legrand, le ci-devant présentateur de l’émission « Le Club RFI » m’a un jour conseillé de demander à Nathalie où est ce qu’elle a appris à parler. Serait- il lui aussi subjugué par le l’irrésistible charme de la diction de cette grande dame ? Il aura le temps peut- être de nous éclairer un jour.
Quand, lors de notre seconde émission sur RFI, nous l’avions invitée, le charme qu’elle exerçait déjà sur moi ne fut que grandissant. J’en eus presque le souffle coupé, quand résonna sa voix pour répondre à Jean : « Bonjour Jean … Souvent-même ! ». Vous aurez dans quelques jours l’extrait de l’émission avec Nathalie Amar en cliquant sur l’onglet indiqué ci-après.
Si jusque là mon propos souffrait d’une imprécision malgré toutes mes insinuations, laissez-moi alors vous dire là où je veux en venir : Nathalie Amar me fascine, sa voix me tyrannise.
Mon rêve de grandissime passionné du journalisme est un jour de travailler à Rfi, mais surtout aux cotés de la Nathalie Amar à moi.
Elle vient élargir le très immense cercle de journalistes dont les prestations n’ont eu de cesse de peupler mes rêves d’adolescence et encore d’adulte.
Mon esprit effleure sûrement des noms dont la postérité pourra se glorifier et tirer fierté : Laurent Sadoux, Alain Foca, Anne Toulouse, Pape Touré, Souleymane Jules Diop, Mamadou Ibra Kane (RFM, Sénégal), Malick Bâ (ancien de Walfadjiri (Sénégal) et encore et encore Maimouna Ndir (RTS, Sénégal).
Me reprocher d’objectivité en énonçant ces noms, c’est accepter sciemment de faire couler sa salive inutilement. Car, bien sûr, je vous donne à voir mon monde de journalisme, tel que je le pense.
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